Toge Inumaki (+maquillage)|| La soirée se passe bien. Tu as du plaisir à te jouer des gens en prenant ton personnage bien au sérieux. Bien entendu, tu ne comptes pas que faire cela. Tu as aussi envie de participer aux autres activités de cette soirée. Tu décides donc de sortir de la salle de bal et te cherche un ami. Ce qui se révèle à être plus compliqué que tu ne le croyais. Beaucoup de gens sont déjà en binôme ou ne te semblent pas du tout être du genre à vouloir tenté ce qu'offre l'événement. Tu pourrais te joindre à un groupe, mais tu ferais probablement tache. Tu décides donc de continuer seul. Peut-être que quelqu'un finirait par se joindre à toi. Tu commences par la première salle que tu trouves. Tu te rends rapidement compte de laquelle il s'agit. La salle aux miroirs. Une part de toi se dit de retourner de bord parce qu'il pourrait t'arriver quelques collisions (comme la dernière fois). L'autre te dit que de recevoir un petit coup sur la tête vaut bien l'amusement que tu y passeras. Or, tu n'avais pas pensé que tu te retrouverais assez rapidement perdu avec l'impression de ne plus savoir où se trouve l'issue. Mais bon, ce n'est pas grave. Ça te fait rire. Enfin, c'est le cas jusqu'à ce que quelqu'un apparaisse derrière toi. Mais est-il vraiment là ? Tu n'en sais trop rien, mais à son apparence tes jambes te dise de te sauver. C'est ce que tu fais. Ce qui n'est pas la meilleure idée de toute ta vie puisque tu rentres dans une personne.
(( dress + hair + makeup )) — Un bal costumé, ça lui avait tout de suite paru être une bonne idée, et puis... en arrivant et captant que la déco était elle bien horrifique, contrairement à son costume, elle avait un peu déchanté. Pas qu'elle ait réellement peur de tout ça, même si elle devait avouer que le nom "maison de poupées" ne lui donnait nullement envie de s'y essayer, juste... que ce n'était pas franchement sa tasse de thé ? elle préférait largement ce qui brillait, grimaçant légèrement face aux toiles d'araignées et de poussières disséminées ça et là pour rentrer dans le thème. S'il y a bien une pièce qui l'intrigue en revanche, après avoir fait son petit tour de la salle de bal, c'est celle des miroirs, se demandant s'il s'agissait vraiment d'une attraction comme celles de fêtes foraines et si tel était le cas, comment elle s'en tirerait. La belle se dirige donc sans plus d'hésitation vers cette dernière, l'impression irréelle et immédiate de pouvoir se mirer au centuple la dépaysant sévèrement. Ses yeux papillonnent d'un bout à l'autre, se demandant comment se déplacer sans se cogner et plaçant finalement ses mains légèrement devant elle avant de se décider à avancer, tâtonnant dans un silence entrecoupé par la musique extérieure. Elle ne sait exactement de combien elle a réussi à se déplacer quand quelqu'un lui rentre dedans de plein fouet, sursautant sous l'assaut de son dos et partant en avant, se stabilisant in extremis pour ne pas faire le plat du siècle. Sourcils froncés, pas franchement contente, elle se retourne pour faire face à un... ninja ? qui semble avoir vu la mort en face. Ou du moins, son reflet. « Tout va bien ? » Mais n'était-ce pas elle qui venait de se faire bousculer ?
Toge Inumaki (+maquillage)|| Bon... Tu n'aurais pas cru que tu serais du genre à t'enfuir. Surtout que tu sais très bien où tu te trouves. Tu es en pleine soirée d'halloween. Il est donc claire que certaines personnes sont soit payé pour faire peur ou soit - ce qui serait ton cas - là pour le plaisir de le faire. Excepté, cette fois, le personnage t'a mis si mal à l'aise que ta seule pensé était de te sauver. Te sauver dans la pièce à miroir... Non, mais quelle mauvaise idée. Tu pourrais rentrer dans un miroir et te faire bien mal surtout si celui-ci décide d'éclater. Or, par chance, on pourrait dire, tu as foncé sur une personne. Ayant d'assez bon réflexe - merci au Parkour et au skateboard -, tu réussis à ne pas tomber. Tu peux donc sans problème voir une petite fée mécontente. Tu peux bien comprendre pourquoi. « Hum... » Tu regardes autour de toi et expires. « Oui, désolé pour ça » lui dis-tu en te frottant la nuque. « Ce n'était pas voulu. » Non, du tout. Tu aurais même mille fois mieux te trouver un endroit et jouer des tours. « J'ai cru voir... » Tu t'arrêtes un instant. Elle allait sûrement te croire débile. Tu secoues donc la tête. De toute manière, ce n'était pas le plus important. « Enfin... Et vous ? Ça va ? » Tu ne connais pas la demoiselle. Du moins, tu ne crois pas. En même temps, l'éclairage et les costumes (pour certains) peuvent complètement changer la perception des choses.
(( dress + hair + makeup )) — Le choc passé, cœur battant pourtant encore à tout rompre, c’est légèrement mécontente qu’elle se retourne vers la source du problème, bien décidée à en découdre. La pièce des miroirs était déjà assez dangereuse comme ça d'elle-même, pas besoin d’en rajouter avec des bousculades ! L’énervement qui pulse sur le bout de sa langue se voit néanmoins soufflé face à l’expression horrifié de l’inconnu, l’impression qu’il avait vu la mort en face la taraudant et la faisant redescendre d’emblée. De toute façon n’avait-elle jamais été douée pour la violence, qu’elle soit physique ou verbale, soupirant dépitée. Peut-être y avait-il une bonne explication à toute cette situation ! Mieux valait d’abord s’enquérir de son état. « Je me doute que ça ne l’était pas, oui. » répond-elle d’emblée, n’imaginant même pas que quelqu’un puisse faire ce genre de farces. On pourrait se blesser ! Heureusement, même, qu’elle a envie de dire, se contentant d’hausser les épaules avec désinvolture et afficher un petit sourire ok dans une moue. « Excuses acceptées. » Pas rancunière pour un sou, surtout quand la personne n’y était pas pour grand-chose, papillonnant toutefois des cils en suivant son regard comme si elle s’attendait à trouver un fantôme. Rien. Un léger « oui, je pense être en un seul morceau » affirmatif jeté alors que l’attention est ailleurs, finissant par jeter un coup d’oeil distrait à son costume qui n’a heureusement rien. « Plus de peur que de mal. » Et elle espérait que ça reste ainsi. « Pourquoi foncer ainsi dans cette pièce ? Vous auriez pu vous assommer. » Ne savait-il donc pas dans quoi il s’engageait avant d’y pénétrer ?