DUO : AHN JISOO X NAM INSU (OSAKA)

Traveling –
i am tired of this place, i hope people change.
aesthetic   ♦ Pas. À, pas. Mon être, se frayait. En, ces lieux. Cet antre. Fort, gigantesque. Se dévoilant, sous. Cet air. Quelque peu... Ahuris. Que, je possédais. Je l'avouais, non. Sans grande, difficulté. Je n'avais, usé. De ce moyen, de locomotion. En, un décompte qui semblait se lire, à l'encontre des doigts. Que je possédais, en l'une de mes mains. Deux. Trois, fois. Pensais-je. En, ces souvenirs. Lointains. La dernière, en date. Se voyait alors, avoir été redirigée envers : le pays du soleil, levant. Et, à nouveau. C'est, envers ce pays. Que, mon être. Devait, se rendre. Cependant. Et, au travers de bien multiples. Aspects. Différents... Étrangement. J'avais, pris part. À, ce programme. Disposé, envers. Ces écrans, que quiconque, au travers du pays du matin calme, possédaient. En, son antre personnel. Je semblais, moi-même. Munis. De cet écran, redirigé, à mon encontre. Cette perche. Glissée, aux creux de l'une de mes mains. Une initiative, personnelle. Je favorisais, l'idée. De porter ma personne, envers. Une certaine liberté. Et, une solitude. Qui allait, bien vite. Se voir : évincée. Une demoiselle. Une simple – et unique, demoiselle. Attendue. Patiemment. Impatiemment. C'est fièrement, munis. De, ces billets. Et, de ce sachet. Où, résidait source nourricière, que. Je me voyais, prendre place. À l'instar, de l'un, de. Ces nombreux fauteuils. Guère, confortables. Néanmoins. Convenable. Lors, d'une attente. Des mots, se formaient, alors. Tandis que, je parvenais à offrir. Verbalement. L'instant présent. Gênant ? Cela, ne semblait que. Bel – et bien, l'être. J'aspirais. Malgré tout. À, une venue. Précipitée. De la part, de cette jeune femme. Fruit de mes tourments. J'avais, pour elle. Vêtu. Ces parcelles vestimentaires. Agréables, d'après de bien vulgaires critiques que j'avais, osé. Écouter. Et, ce. Dans le seul et unique, but. De ne pas faire, tache. À, ses côtés. Il est vrai. Nous possédions, tous deux. Des objectifs professionnels, fort différents. Et, pourtant. J'osais. M’immiscer. Petit. À, petit. En, ces mystères que pouvait être. La reconnaissance, d'autrui. Les feux des projecteurs. Tantôt, disposés. À, mon encontre. Je persistais. Tel, un chérubin. En, cette idée. Perdu. Et, curieux. Je suivais, les dires. De ces connaissances, et amis. Traversant, de tels. Parcours. Ils avaient, alors. Appuyés, de bien multiples faits. Que, je me devais. De respecter. Au sein, de cette maison. Des secrets. Mais, aussi. Face, à cette caméra. Tenue, à bout de bras. Qui allait, très certainement. Capter, de bien multiples instants. Intéressants, ou non. Seul, le public. Semblait-être, libre. De juger. « Enfin. J'ai presque cru, que j'allais devoir crier ton nom, pour te voir venir jusqu'à moi. » Poursuivais-je. Tout, à coup. Un visage, familier. Et, bien plus. Encore. Se voyait, redirigé. Là. Non, loin. De, ma personne. Arborant, comme. À, son habitude. Cet air, candide. À l'instar de, son faciès.



 

Elle avait réussi à se paumer dans l’aéroport, trainant sa petite valise derrière elle. Le voyage durera moins de trois jours, c’est ce que les managers de l’agence lui avait dit. Pas la peine de prendre une grosse valise donc. Elle s’est perdue dans le grand aéroport de Incheon et pour cause, elle n’a aucune idée de la destination de ce voyage. Trottinant dans un immense hall, elle cherche son partenaire de jeu. À croire que le destin se joue d’eux. Plus le temps passe et plus ils se retrouvent ensemble, devant les caméras comme en dehors de leurs vies professionnelles. « Pas la peine de crier » dit-elle en ronchonnant. « Je me suis perdue. L’équipe n’a pas jugé utile de me prévenir à l’avance de la destination donc j’avais aucune idée du hall de rendez-vous » continue-t-elle en boudant. « Tu sais où on part ? » dit-elle, son regard parcourant les grands tableaux d’affichages des départs sur le mur. L’aventure oui, pas de soucis, mais connaître la destination serait un petit plus pour elle.

Traveling –
i am tired of this place, i hope people change.
aesthetic   ♦ Naturellement, la gent féminine usait de bien multiples prétextes afin de parvenir à exprimer de convenables raisons à l'encontre du retard incertain dont elles osaient faire part, à l'intention de la gent masculine et du rendez-vous qu'il semblait avoir été organisé. La demoiselle se glissant alors, à mes côtés ne semblait aucunement être une exception à l'instar de cette règle. Je ne pue cependant, lui en tenir davantage rigueur, et ce, envers le simple – et unique fait que : la demoiselle se trouvait être ma partenaire au sein de ce programme. Anxieux, j'avais osé imaginer de bien multiples faits et identités qui daigneraient y prendre part. Et pourtant. « dans ce foutus pays du soleil levant, osaka, les maids, les otaku, les mangas, les nouilles, tout ça, tout ça. » Il est vrai, ces aspects ne semblaient être que de vulgaires idées préconçues envers cette contrée. Néanmoins, je n'y avais guère posé les pieds à de bien multiples reprises. Uniquement, une seule fois. Et ce, pour un programme télévisé (à nouveau). Appréciaient-ils, m'y mener ? Difficilement, je me dressais sur mes guibolles, réajustant ce couvre-chef niché à l'instar du haut de mon crâne avant que je ne puisse me permettre de prendre possession du bagage de la demoiselle. « j'ai déjà enregistré mes bagages, j'ai eu le temps... étrangement. » Argumentais-je, dans un premier temps. Taquinerie, certes. « viens, va. » Mon crâne se mouvait, d'un simple geste, j'incitais la jeune femme à se glisser à mes côtés afin de suivre le chemin qu'il me serait permis de poursuivre. « je pensais que tu te serais renseignée sur le lieu du rendez-vous, tout de même. » Ajoutais-je. « j'ai pris quelques bouquins sur le chemin, histoire de jeter un œil sur ce qu'on pourrait trouver dans cette ville. » Car, oui. Je ne possédais aucunement de connaissances convenables envers cette ville issue du pays du matin calme. À mon plus grand regret, nous allions simplement devoir agir sur de vulgaire coup de tête. Qu'importe, si cela convenait (ou, non). « t'as des idées, peut-être ? » L'espoir, fait vivre.