→ blog de dr plague (iloveyou)

I WILL ALWAAAAAYS LOOOOOOVE YOU.

DR PLAGUE WILL ALWAYS LOVE YOU.

Petit interlude musical pour vous dire que même pendant mes absences, je ne fais que penser à vous, lorsque je ne médite pas sur mes fichiers excels, ma playlist metal ou encore la frénésie du papier toilette.

Et si Whitney Houston était la vraie représentante d'une capacité respiratoire et de cordes vocales hors normes lors des Grammy Awards de 1994 - quand absolument aucun de vous n'était encore né - nous étions plusieurs milliers, voire en réalité plusieurs millions devant nos écrans pour suivre la cérémonie de MUSA 2020.

Mais combien étions-nous exactement, ce soir là, à regarder ce défilé beaucoup trop long ? Hé bien, je vous invite à venir analyser avec moi, heure après heure, les chiffres fournis, mélange de l'audience coréenne et des viewers depuis les plateformes de streaming (youtube, mon ami).

On commence direct avec la première partie. Il est 18h00, après une page de pubs interminable, on s'attend à du gros spectacle, n'est ce pas. On commence par une série de reprises de chansons cultes, avec deux petits clins d'oeil aux Vict3ry, Fantastic Baby et Love Shot, interprétés par TY:N et Stardust, histoire de rappeler aux V's que la soirée va être longue pour eux avant qu'ils puissent entrapercevoir le trio pour lequel ils ont fait la queue depuis 5h ce matin.

Le point culminant arrive avec le passage de TY:N. Wow des mecs et de la grosse musique, et en plus eux aussi sont trois. Et puis ensuite, c'est la décadence. On se fait chier pendant 30 minutes sur une ambiance dédiée aux quinquagénaires, tout ça pour finir en flocons et niaiserie.

Les seuls petits vieux restants manquent le choc cardiaque quand ils voient im☆mature et vox pop arriver et ils zappent tous pour aller regarder thalassa.



C'est l'heure de manger, pendant qu'on met le couvert, y'a la collab de im☆mature et vox pop qui passe. Ah, c'est pas mal, ça, dis donc. Elles nous donnent un peu le vertige depuis leurs cubes de 5 mètres de haut.

On passe ensuite du tout public à un défilé de cuisses avec Serenata et Kassiopeia. La différence fait mal mais ça balance sévère sur les réseaux sociaux. Le pari est finalement gagné lors de leur special stage, où on admet qu'elles ont quand même l'air physiquement intelligentes. Après ça, on s'attend à ce que le moulin rouge débarque sur scène, mais non.

Interlude avec le gratin de l'underground. Pourquoi. On ne sait pas. Les fandoms ragequit les uns après les autres, ils sont partis streamer les MVs de leurs faves à la place. Puis le miracle arrive : Zinnia. Bol d'air frais, enfin des nanas en robes trop courtes. Ok, ça chante du disney, on sait pas trop si on apprécie si vite le retour à la télé de Let It Go après l'avoir entendu plus de fois que notre réveil le matin.



On nous a promis des mecs en costume pour le début de l'heure qui suit, et c'est en effet le défilé de chemise. Les groupies espèrent toutes que ces fameuses chemises vont connaitre le même sort que le pantalon de Juno l'année dernière aux MAMA 2019 (oops, touché). C'est Ren qui nous enjaille vraiment sur Bad Woman, parce que tout le monde souffre ici d'un syndrome de Stockholm.

Les solos s'enchainent, et on découvre Min.K, Eunjoo et KSHMR qui ont décidé de piquer le concept des mecs d'avant et de montrer qu'ils pouvaient le faire en mieux. MIN.K enfile même un col roulé pour encore plus d'effet et ça marche.

La foule en délire hurle l'arrivée de HOOK3D, enfin quelqu'un qu'on connait et qui gagne des prix. Pas comme les autres ploucs qu'on a vu jusqu'ici. Nero se retrouve prix en sandwich parmi les fans fous de HE:ROES et ViV!D.



On continue la soirée sur une pente à peu près stable entre Nara, la collab de Sixth Sense, et l'arrivée des groupes de cuties qui font plaisir : Divine et Eden signent leur victoire commune sur One More Time.

D'ailleurs, on en aurait bien repris une petite dose, parce que dès qu'un artiste un peu hors zone kpop pointe le bout de son nez, on se retrouve avec la chute en enfer. Si on avait eu Nero, Ike, Shun et Ares sur One More Time, peut-être que ça aurait marché. Gott ? Gottasadae ? Gott bye !



Personne n'est très convaincu par les prestations de Trivia et Purple Moon, même si on les trouve mignons ensemble. Il faut attendre la collab de Bomb Bomb pour commencer à s'enjailler vraiment, puis l'apparition des Twinsis tout en fluo. Aussitôt qu'elles disparaissent de la scène, l'audience chute et Heroin n'a plus qu'à taper sur ses tambourins pour tenter de sauver les meubles.



Il est 23h00. On a attendu beaucoup trop longtemps pour ça, mais ça arrive enfin. Aurora, Supernova et ICN19 nous régalent, mais c'est surtout pour Spawn que nous avons attendus. Difficile pour Peach et CNC de passer ensuite et maintenir le niveau. Pari relevé par la collab stage avec Taylor Swift, ça chante de tous les côtés, énormes cordes vocales, grosse émotion, on adore.



La montée continue, il est minuit passé et on a couché les gosses. Kendrick fait un peu moins que Taylor, mais on a déjà compris dans cette soirée qu'on aimait pas les rappers de toute façon, sauf s'ils cuisinés à la sauce idol. Taylor revient, et cette fois entourée de cinq mâles torses nus, on s'attend à tout moment à voir Serenata surgir des coulisses. Mais c'est encore mieux, puisque Elysium suivi de la perf solo d'Ao nous séduit. Jay débarque sur scène, c'est la folie générale, et on finit par la collab inattendue entre les Vict3ry et les D.Avenue. Le nombre de screenshots à la minute explose tous les records, pourtant ils sont tous placés à 30 mètres les uns des autres.



Ahreum suivie des D.Avenue nous offre du grand spectacle, et la soirée atteint son apogée avec les performances de Feel Special et Lion. Les vues se stabilisent avec un petit Any Song Challenge improvisé dans le salon en compagnie de Juno et des Vict3ry qui concluent la soirée en fanfare, comme à leur habitude.



Voilà, c'est tout pour les tv ratings de ces MUSA 2020. Et voici la courbe de la soirée :



P.S important : N'oubliez pas de donner de l'amour aux rappers et aux chanteurs indie.

ILOVEYOU

DR PLAGUE.

Bonsoir à tous,

Oui, je suis d'humeur généreuse. Je me suis fait attendre pendant si longtemps, je ne pouvais pas juste vous envoyer une courbe et repartir dans mon trou pendant 3 mois.

C'est pourquoi, j'ai l'honneur de vous présenter les PLAGUE AWARDS 2020. C'est la toute première édition et je ne suis pas peu fier de vous annoncer également que je suis sponsorisé par :



En effet, rip la démocratie, vive l'anarchie. Pour la toute première fois, je vous propose une opinion 100% subjective, qui repose sur zéro vote, zéro chiffres, zéro fondement, zéro source. Si vous cherchez le pourquoi du comment, c'est que vous cherchez trop.

Et plutôt de célébrer seulement 1 vainqueur dans une catégorie naze, dans Plague Awards, on récompense parfois plusieurs artistes par catégories très, très nazes. Hé oui, faudra partager la honte avec vos petits copains.

C'est parti, j'envoie la sauce.


Tout d'abord, la catégorie des chansons où vous avez mal dans vos feels. Brokokoro power. Ces mâles ont vécu le pire et ils ont besoin de le faire savoir à travers leur muscl--musique.

BONSOIR A VOUS !

C'est sur un morceau de Jabberwocky que je suis de retour avec ce que vous attendiez tous impatiemment (bien plus que mes analyses des MUSA ou les Plague Awards) : le BILAN du premier trimestre 2020.

Avant de commencer, je veux vous avertir de plusieurs changements par rapport au calcul de ce trimestre. Par choix personnel, les cfs, shootings, ost, musical ne feront plus partis du calcul. Pour deux raisons : la première est que cela me prend trop de temps de regarder toutes les pubs à la télé, et la seconde est que c'est un gain dérisoire par rapport au reste des critères pris en compte (vues, hanteo, égérie, dramas, films, concerts).

Les royalties n’apparaîtront plus non plus de façon récurrente. Ils reviendront, mais de façon plus espacée, et seront présents au moins une fois dans l'année : au moment du bilan final de l'année. Ils pourront potentiellement apparaître une fois de plus en même temps que le bilan de 2eme trimestre, suivant le temps que j'ai à ma disposition.

Ce bilan trimestriel sera divisé en plusieurs parties, à commencer par une analyse par agence des bénéfices globaux engendrés. Piqûre de rappel pour ceux qui auraient oublié, mais tous les chiffres sont exprimés en k￦.

Et on commence par un graphique présentant un peu la répartition des gains générés par les agences sur ce premier trimestre. En terme de croissance par rapport à un trimestre de l'année 2019, cela représente :

+95% pour la Knockout Global (la remontada)
+17% pour la Yuseong Media
+54% pour la Flow Ent.
+59% pour Wanderlust Ent.

Et nous avons la New Edge qui fait également sa grande entrée parmi les grands. Les résultats sont décevants pour le moment, mais il me fallait bien une nouvelle victime après la remontée en puissance de la KG qui vient chatouiller la Wanderlust. Seule la Yuseong Media confirme encore sa place de numéro un, puisque la Flow, la KG et la Wanderlust, au final, ne sont pas éloignées de beaucoup entre elles. Si ce premier trimestre n'est pas encore décisif, les prochains pourraient le devenir.



Maintenant, je vous invite à analyser, agence après agence, les plus gros générateurs de gains de ce trimestre, par agence. Et on commence, comme le veut la tradition par la Flow Entertainment.

Si les Supernova conservent leur titre de queens de l'agence, leur disband pourrait suffire à faire perdre sa place de numéro deux à l'agence, puisqu'elles représentent à elles seules 2,49M k￦. Si les frères Yang ont disparu, ils ont laissé la place à CNC et Elysium (bonjour Ao ! un peu là dans le classement quand même au final). On retrouve d'ailleurs deux membres des CNC : Ellie et Oz.



On poursuit avec la Wanderlust Ent. Avec le disband de Valkyries, c'est Spawn qui devient la puissance principale de l'agence. On a ensuite une pléthore d'artistes qui viennent s'ajouter à ceux qui étaient déjà présents dans le classement aka Jihyo et Myeongsoo.



On continue avec la Yuseong Media. Les D.Avenue disparaissent du classement, seulement représentées par Ahreum, nous laissant les Vict3ry, Twinsis toujours au rendez-vous. Min.k vient s'ajouter au podium.



On poursuit avec ceux qu'on attendait au tournant : la Knockout Global. Et avant qu'on me saute au cou, oui je sais que ICN19 ne s'écrit pas de cette façon, mais le logiciel de graphiques (chartblocks devient chartflops) refuse l'écriture classique donc il a du faire avec les moyens du bord. En tout cas, le classement KG est largement dominé par le groupe et ses membres, suivi de Lola, Keenan de ViV!D et Sakura de Zinnia.



Et on termine avec les petits nouveaux : la New Edge. Forcément, ce sont les plus drôles, car ils ont encore tout à apprendre, toutes les erreurs à faire. La New Edge nous rappelle qu'elle est un agence d'acting avant tout avec Arin, suivie de ses nouveaux talents : K.Min et Vox Pop.



Et parce que l'année dernière, je vous avais offert une vue globale des groupes des différentes agences, je ne déroge pas à la règle.




La suite arrive, soyez patients.

En attendant, prenez soin de vous,
ILOVEYOU,

DR Plague.

BONJOUR A TOUS !

Je suis de retour avec une chanson qui représente bien cette seconde partie du bilan : Everyone Wants To Rule the World, de Tears For Fears.

Petit rappel : En corée du sud, en 2019, le salaire minimum est de 2137k￦ par mois. Le salaire moyen est de 4115k￦ par mois.

En fin 2019, nous avions 48% des idols moins payés que le salaire moyen des coréens, et 36% des idols ayant des revenus inférieurs au salaire mensuel minimum. Qu'en est-t-il de ce premier trimestre de 2020 ? La situation s'est largement améliorée puisque les chiffres tombent à : 20% des idols moins payés que le salaire moyen des coréens, et 9% des idols ayant des revenus inférieurs au salaire mensuel minimum. A noter qu'il s'agit cependant seulement des idols en activité pendant ce trimestre, donc ceux ayant engendrés des revenus.

Tout comme la dernière fois, les graphiques en bâtons se liront de gauche à droite et les sommes sont exprimées en revenus mensuels en k￦. Pour décomposer tout ce beau monde, j'ai repris le système de tier allant du Tier F (ceux qui gagnent le moins) au Tier S (ceux qui gagnent le plus).

Si on retrouve parfois des membres d'un groupe et ce même groupe dans les graphiques, car parce que tous les membres n'étaient pas représentés individuellement (pas d'activité solo, par exemple), et leur permettre tout de même de savoir combien ils gagnent par mois, avec juste les activités de groupe.

On commence direct avec le F Tier, qui fait bien moins pitié que celui de la dernière fois. En effet, c'est Sung qui marque le passage vers les idols gagnant le minimum mensuel et HE:ROES pour les idols aux revenus supérieurs aux revenues moyens. A première vue, beaucoup d'artistes de la New Edge et Knockout Global. Les idols de fin de tiers F peuvent déjà être considérés comme étant de nouveaux riches.



Je continue avec le E Tier, qui faisait peur à voir la dernière fois, mais comme nous avons vu précédemment : les chiffres ont significativement grimpé depuis la dernière fois, donc la situation des E Tiers est loin d'être difficile. On retrouve encore quelques artistes de la New Edge et un grand nombre d'artistes de la Wanderlust Ent.



Ensuite, nous avons le D Tier, dans lequel on retrouve encore une fois beaucoup d'artistes de la Wanderlust, et l'apparition de plusieurs artistes de la Yuseong Media, donc notamment des membres de Aurora.



On s'approche doucement des hautes sphères avec le C Tier. On retrouve les membres de Divine, plusieurs membres d'Eden et d'Aurora, ainsi que plusieurs He:Roes. Le mélange est assez hétérogène, à l'exception de la Flow Ent. qui semble fuir ce tier (pour de bonnes raisons).



Le B Tier est aussi glorieux qu'il est effrayant, puisque les artistes présents à la fin de ce tier gagnent plus de deux fois ceux qui se trouvent au début de ce même tier. Ce tier représente également la bataille des puissances des différentes agences qui se disputent la deuxième place derrière la Yuseong Media.



Le A Tier où la New Edge arrive à hisser une de ses actrices parmi les grands. On retrouve aussi plusieurs membres de CNC, ICN19 et les membres de Spawn qui se trouvent juste aux portes du S Tier.



On termine avec le tant attendu S Tier. La crème de la crème, même si on a vu précédemment que personne n'était trop à plaindre, il faut bien des gens qui gagnent trop bien leurs vies, alors les voilà. Pas mal de changement dans ce tier avec l'apparition de plusieurs membres de ICN19, de CNC et de Supernova. Les Vict3ry dégringolent derrières les Twinsis qui font une entrée fracassante dans le podium occupant la deuxième et troisième place. Enfin, HOOK3D précédemment à la quatrième place des plus grosses fortunes monte à la première place.



Pour terminer, voici le graphique général, pour votre plus grand plaisir.




A la prochaine,

ILOVEYOU,

DR Plague.

Harder, Better, Faster, Stronger. Je n'ai pas trouvé de meilleurs adjectifs pour décrire cette nouvelle édition.

Aujourd'hui, les enfants, je suis fier de vous présenter mon tout dernier joujou : le MRI SCAN. Après tout, je suis docteur, et j'ai donc conçu un outil permettant de passer au scanner les chansons de vos faves. Les psychopathes au fond de la salle peuvent ranger leurs scalpels, pas de dissection dans cette nouvelle séquence.

Un peu comme lorsque vous faites une prise de sang, et que vous vous rendez compte que vous mangez trop salé, trop sucré et trop gras, exactement le contraire de ce que cette pub vous a appris depuis que vous êtes un bambin, le MRI SCAN vient analyser plusieurs critères.

Sauf que ces critères ne nous donnent pas vraiment d'indications sur la bonne santé d'une musique. En revanche, des études très poussées ont permis de déterminer à quelle "recette musicale" il faudrait se rapprocher pour pouvoir créer des hits.

Je vous propose donc ensemble d'étudier chacun des critères utilisés dans cette étude, pour tous les groupes du moment, en prenant en compte la dernière chanson qu'ils ont release au moment où j'écris cet article.

Et on commence avec la dansabilité, qui détermine si une chanson est adaptée pour bouger son popotin ou non. Elle se base sur une combinaison de plusieurs éléments musicaux tels que le tempo, la stabilité du rythme, la puissance des percussions et une régularité générale.



Nous avons ensuite l'énergie. Cette mesure est un mélange de l'intensité et de la rapidité. De façon générale, les chansons énergiques sont rapides, puissantes et bruyantes. Comme exemple, le death metal va avoir un score élevé à l'inverse d'un prelude de Bach.



Nous passons ensuite à l'intensité. Mesurée en decibels, vous remarquerez que les valeurs vont de 0 à -60, ce qui correspond à une variation des chansons les plus douces aux chansons les plus intenses.



Le taux de paroles détecte la présence de mots parlés dans une chanson. Plus on trouve de mots qui sont dit sous un ton de parole normal, et plus le pourcentage augmente. A savoir que la plupart des chansons qui ne sont pas des podcasts ou des radio shows sont en dessous de 33%, ce qui est le cas pour tous nos titres ici.



L'acoustique prédit lorsque les instruments sont prédominants dans une chanson. Ainsi les "Ooh" et les "Aah" sont des sons traités comme des instruments dans ce contexte, alors que le rap et le chant sont considérés comme des vocals.



L'authenticité mesure à quel point une chanson a été modifiée ou non en post-production. Elle vient notamment mesurer la netteté et les distorsions des vocals d'une chanson. Ainsi, les chansons ayant subi une post-production plus importante auront un score plus bas.



La valence mesure la positivité musicale exprimée par la chanson. Les chansons avec une valence élevée ont un son qui nous renvoie une image davantage positive (joie, engouement, euphorie) alors que les chansons avec une valence faible nous renvoient des émotions plus négatives (tristesse, dépression, colère).



Enfin, on termine avec le tempo vient estimer une valeur en BPM (beats per minute). Il s'agit de la vitesse, du rythme d'un morceau de musique.



Maintenant que nous avons toutes nos données, il est temps de les comparer avec une étude de cette année. Celle-ci a mesuré les mêmes critères que les miens sur les chansons qui ont marqué l'année 2019-2020, avec pour n'en citer que quelques unes : con calma (daddy yankee), wow (post malone), bad guy (billie eilish), sucker (jonas brothers), 7 rings (ariana grande), without me (halsey), et bien d'autres.

Les critères d'une chanson parfaite qui plairait à tout le monde seraient donc les suivants :

dansabilité : 78,8%
énergie : 69,4%
intensité : -3,7 dB
taux de paroles : 3,9%
acoustique : 2,81%
authenticité : 20,0%
valence : 56,2%
tempo : 123 BPM

En faisant la différence absolue entre la recette parfaite et les dernières releases des différents groupes que l'on a vu précédemment, on peut voir ceux qui se rapprochent le plus de la chanson parfaite et qui ont donc la différence la plus faible.

Hé oui, ICN19 sembleraient posséder le secret.



Méditez là-dessus,

ILOVEYOU

DR PLAGUE.