« Coucou la compagnie », que tu lanças joyeusement en entrant, le coin des lèvres levé et le regard pétillant. « Josie tu es là ? », tu fronças un peu les sourcils, avançant, les doigts accrochés au sachet, te penchant pour mieux observer les coins. « J'ai apporté à manger je savais pas si tu avais déjà mangé. Et monsieur Hwang m'a donné des gâteaux. Tu sais, les bons gâteaux dont je te parlais ? Ils sont vraiment bons », si avec tout ça elle avait pas compris que les gâteaux étaient bons... « Je suis sûr que c'est une recette secrète genre... un truc qui se transmet de génération en génération. J'espère qu'il va me la transmettre », même si t'étais pas de sa famille. C'était qu'un détail, t'étais un peu son fils dans le fond tu pouvais le sentir. Il était toujours gentil avec toi et t'écoutais quand tu lui parlais de tes rêves ou de tes journées. Il te soutenait aussi, t'encourageant toujours à donner le meilleur de toi-même. Il ne le disait pas souvent mais il lui arrivait de dire que tu seras capable de réaliser beaucoup de choses et qu'il croyait en toi. Rien que ça, ça te motivait à briller un peu plus. La scène n'attendait plus que vous ! Et tu l'attendais aussi un peu. « J'ai acheté de nouvelles chaussures aussi », tu vins agiter ton pied de manière peu vendeuse dans un rire. « Elles sont super confortables et pas trop chères. Si jamais tu veux je pourrais te montrer le magasin », t'avais tout noté sur ton téléphone pour pas oublier. T'étais prêt à partager tes bons plans, surtout avec Josie. « Et le chat de madame Lee m'a dit de te dire... », tu posas le sachet sur la table, le sourire bien grand et le regard bien brillant alors que tu te redressais le dos bien droit, prêt à partager les paroles savantes de Leo. « Miaou », annonças-tu d'un air solennel, hochant la tête, avant de sourire à nouveau, bien trop contenté. Le message était passé ; t'étais un homme de paroles, t'avais promis à Leo de le faire. Et t'étais sûr que c'était ce qu'il avait sous-entendu dans ses miaulements. « Ca veut dire qu'il te passe le bonjour. Un jour il voudra te rencontrer aussi tu sais », parce que tu lui parlais souvent de Josie. « Tu vas bien ? Tu fais quoi ? Je peux t'aider ? J'ai du lait à la banane aussi et du lait à la fraise. Je savais pas celui que tu préférais donc j'ai pris les deux », que tu dis en désignant le sachet, le sourire toujours présent, la frimousse émerveillée alors que tu la contemplais. A tes yeux, elle rayonnait tout le temps que c'en était presque aveuglant – mais tu ne détournais pas le regard pour autant, appréciant la chaleur qu'elle dégageait et cette lumière qu'elle voulait bien partager avec toi.
« ... »
Love is not something you find. Love is something that finds you
wanderlust entertainment
Park Josie
Hier à 22:12
Messages :
21
Age :
26.juillet.2000 24 ans
occupation :
actrice// fondatrice d’un nouveau pet cafe à Séoul
Assise confortablement avec une tasse de café dans ma droite et une feuille de papier dans ma main gauche, je contemple les derniers ajustements à faire en ce qui concerne le menu. Je ne suis pas cuisinière et c’est hors de question que je prenne une décision finale toute seule alors que je ne m’y connais pas sur le sujet. J’hésite encore à remplacer le lait de vache par le lait d’avoine dans nos smoothies. Je sais que c’est une bonne idée d’offrir quelque chose de différent, mais je ne sais pas si ce changement compromet les recettes de notre chef cuisinier. Je sais qu’il risque encore de rouler les yeux au ciel si je fais encore des changements, mais je crois que cette fois ça peut être bénéfique à tous ceux qui ont des problèmes à consommer le lactose. Mes sourcils se froncent suite à ce dilemme si important, mais une voix lointaine me sort de ma torpeur soudainement. Une douce mélodie qui a le don de me redonner le sourire, mais surtout d’accélérer mon rythme cardiaque à une vitesse folle. « Yechan ? C’est toi ? » Je crie pour être certaine que ma voix traverse l’autre pièce à côté de moi. Je deviens peut-être folle et je l’hallucine parce que j’aimerais qu’il soit toujours à mes côtés. Je n’ai aucune réponse jusqu’à ce que je le vois apparaître tout souriant comme à son habitude. Son visage qui s’illumine en me voyant me rend si faible au niveau des jambes. Une chance que je suis déjà assise. « Je n’ai que cette tasse de café dans le corps, une chance que tu prends soin de moi, merci. » Je m’empresse de lui dire pour le remercier. Avec tout ça, je n’ai pas remarqué que j’ai oublié de manger aujourd’hui. Ce n’est pas rare que ça m’arrive puisque je suis toujours plus concentrée sur mes tâches à effectuer. « Oh oui, tu m’en avais parlé… je vais enfin pouvoir donner mon verdict, mais je suis certaine que tu as raison. » Je lui dis, mes lèvres s’étirant pour lui sourire, histoire de lui montrer que je suis autant enthousiaste d’être en sa présence. « Tu es assez proche de lui ? Si oui, je ne vois pas pourquoi il ne le ferait pas. Demande lui, tu es comme son fils, c’est ça ? » Je lui demande, me posant de plus en plus de questions sur ce fameux monsieur. Je sais qu’il est son supérieur, mais je me demande pourquoi il est aussi spécial pour lui. « Ça fait classe, elles sont bien pour l’entraînement ? » Je le questionne dans l’espoir qu’il a des chaussures appropriées pour pouvoir danser toute la journée. Je ne voudrais pas qu’il se blesse. « On peut y aller ensemble, oui ? » Je ne peux m’empêcher de lui demander dans l’espoir qu’il me donne un peu plus de son temps. Je sais qu’il travaille fort avec son agence. « J’en ai besoin pour le travail et j’ai besoin de ton avis. » Je lui dis sachant qu’il risque de prendre mon achat au sérieux. Il a toujours une opinion sur tout. C’est ce que j’adore chez lui. Je suis tout aussi folle de son côté bavard. Une conversation n’attend pas l’autre et mes yeux s’arrondissent de curiosité quand il mentionne le chat de madame Lee. « Quoi, quoi… qu’est-ce qu’il me dit ? » Je lui demande avec impatience, voulant à tout prix savoir ce qu’un adorable félin peut avoir à me dire. J’entre dans le jeu pour rigoler, mais j’avoue que j’aime que Yechan me mentionne à tout le monde et ce, même s’ils ont quatre pattes. « Vraiment ? » Je lance, faisant mon possible pour ne pas exploser de rire devant sa réponse. J’aimerais parler la langue des chats, mais malheureusement, il n’y a aucun moyen d’apprendre ce langage. « Bien certainement que je sais ce que ça veut dire, tu es parfaitement bilingue, tu prononces très bien les mots. » Je lui dis, jouant le jeu par la même occasion. « Je lui dis bonjour également et tu diras à madame Lee que ça me ferait plaisir de les voir le jour de l’ouverture. Tout le monde est invité. » Je m’exclame en tapant dans mes mains comme une gamine surexcitée. Juste parler de l’ouverture de ce café me remplit de joie. « Il faut que je regarde un truc pour le menu, j’hésite entre le choix de lait, imagine-toi… » Je dis en lançant un soupir de découragement. Je ne sais pas pourquoi je dois toujours m’arrêter sur tous les petits détails. « Les deux, pourquoi pas ? On peut partager si tu veux. » Je lui dis alors que des frissons parcours mon cou au même moment. Je partagerais tout avec lui.
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— "If I had a flower for every time I thought of you...I could walk through my garden forever."
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Assise confortablement avec une tasse de café dans ma droite et une feuille de papier dans ma main gauche, je contemple les derniers ajustements à faire en ce qui concerne le menu. Je ne suis pas cuisinière et c’est hors de question que je prenne une décision finale toute seule alors que je ne m’y connais pas sur le sujet. J’hésite encore à remplacer le lait de vache par le lait d’avoine dans nos smoothies. Je sais que c’est une bonne idée d’offrir quelque chose de différent, mais je ne sais pas si ce changement compromet les recettes de notre chef cuisinier. Je sais qu’il risque encore de rouler les yeux au ciel si je fais encore des changements, mais je crois que cette fois ça peut être bénéfique à tous ceux qui ont des problèmes à consommer le lactose. Mes sourcils se froncent suite à ce dilemme si important, mais une voix lointaine me sort de ma torpeur soudainement. Une douce mélodie qui a le don de me redonner le sourire, mais surtout d’accélérer mon rythme cardiaque à une vitesse folle. « Yechan ? C’est toi ? » Je crie pour être certaine que ma voix traverse l’autre pièce à côté de moi. Je deviens peut-être folle et je l’hallucine parce que j’aimerais qu’il soit toujours à mes côtés. Je n’ai aucune réponse jusqu’à ce que je le vois apparaître tout souriant comme à son habitude. Son visage qui s’illumine en me voyant me rend si faible au niveau des jambes. Une chance que je suis déjà assise. « Je n’ai que cette tasse de café dans le corps, une chance que tu prends soin de moi, merci. » Je m’empresse de lui dire pour le remercier. Avec tout ça, je n’ai pas remarqué que j’ai oublié de manger aujourd’hui. Ce n’est pas rare que ça m’arrive puisque je suis toujours plus concentrée sur mes tâches à effectuer. « Oh oui, tu m’en avais parlé… je vais enfin pouvoir donner mon verdict, mais je suis certaine que tu as raison. » Je lui dis, mes lèvres s’étirant pour lui sourire, histoire de lui montrer que je suis autant enthousiaste d’être en sa présence. « Tu es assez proche de lui ? Si oui, je ne vois pas pourquoi il ne le ferait pas. Demande lui, tu es comme son fils, c’est ça ? » Je lui demande, me posant de plus en plus de questions sur ce fameux monsieur. Je sais qu’il est son supérieur, mais je me demande pourquoi il est aussi spécial pour lui. « Ça fait classe, elles sont bien pour l’entraînement ? » Je le questionne dans l’espoir qu’il a des chaussures appropriées pour pouvoir danser toute la journée. Je ne voudrais pas qu’il se blesse. « On peut y aller ensemble, oui ? » Je ne peux m’empêcher de lui demander dans l’espoir qu’il me donne un peu plus de son temps. Je sais qu’il travaille fort avec son agence. « J’en ai besoin pour le travail et j’ai besoin de ton avis. » Je lui dis sachant qu’il risque de prendre mon achat au sérieux. Il a toujours une opinion sur tout. C’est ce que j’adore chez lui. Je suis tout aussi folle de son côté bavard. Une conversation n’attend pas l’autre et mes yeux s’arrondissent de curiosité quand il mentionne le chat de madame Lee. « Quoi, quoi… qu’est-ce qu’il me dit ? » Je lui demande avec impatience, voulant à tout prix savoir ce qu’un adorable félin peut avoir à me dire. J’entre dans le jeu pour rigoler, mais j’avoue que j’aime que Yechan me mentionne à tout le monde et ce, même s’ils ont quatre pattes. « Vraiment ? » Je lance, faisant mon possible pour ne pas exploser de rire devant sa réponse. J’aimerais parler la langue des chats, mais malheureusement, il n’y a aucun moyen d’apprendre ce langage. « Bien certainement que je sais ce que ça veut dire, tu es parfaitement bilingue, tu prononces très bien les mots. » Je lui dis, jouant le jeu par la même occasion. « Je lui dis bonjour également et tu diras à madame Lee que ça me ferait plaisir de les voir le jour de l’ouverture. Tout le monde est invité. » Je m’exclame en tapant dans mes mains comme une gamine surexcitée. Juste parler de l’ouverture de ce café me remplit de joie. « Il faut que je regarde un truc pour le menu, j’hésite entre le choix de lait, imagine-toi… » Je dis en lançant un soupir de découragement. Je ne sais pas pourquoi je dois toujours m’arrêter sur tous les petits détails. « Les deux, pourquoi pas ? On peut partager si tu veux. » Je lui dis alors que des frissons parcours mon cou au même moment. Je partagerais tout avec lui.
