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you plus me makes sense, i don't think about the rest, my life before you was a mess i swear you got my heart beating in my chest
je ne parlerai qu'en présence de mon avocat:
babe you guac my world so bad
Invité
Invité
Jeu 16 Avr 2020 - 0:08
nom prénom
carte d'identité
nom prénom((さかい えいじ ; 사카이에이지))Sakai Eiji. Il porte le goût de l’ailleurs sur le bout de ses lèvres. Eiji, au nom tendre et aux yeux froids, offre son métissage jusqu’à ce prénom qu’il affiche fièrement, une trace de sa vieille Osaka. nom de scène (facultatif) date de naissance Apporté au monde un lendemain d’orage, vingt-cinq ans se lisent sur ses joues. Il compte les années comme les morts chaque vingt-trois janvier, contemple avec nostalgie celles qui sont déjà passées. lieu de naissance Il ne se souvient plus de ses rues où de son odeur. À peine du fredonnement de sa mère - Nishinomiya n’est qu’un souvenir effacé, une bribe floue d’un passé trop lointain pour être remémoré. occupation MUA orientation sexuelle réponse
taille 178cm poids 45kg signes distinctifs Une légère cicatrice près du sourcil droit - accident de poney lui ayant valu une branche en plein visage -, une autre sous la plante du pied droit (il a marché sur un bris de verre). Un tatouage de rose des vents sur l'épaule gauche ne possédant que les points cardinaux primaires. Les oreilles percées, un piercing au nombril, les cheveux généralement colorés. Une tache de naissance sur le plat de la hanche gauche.
groupe sanguin AB- signe astrologique Verseau, chien. phobie perte de liberté, solitude, manque. les requins, les dauphins.
Code:
<t>nakamoto yuta (nct)</t> sakai eiji
famille
parents Sakai Masao, expert comptable, 51 ans. Sakai (née Song) Akane, mère au foyer, 28 ans lors du décès.
Sakai (née Ito, veuve Matsui) Izumi, vendeuse de prêt-à-porter, 42 ans. (belle-mère)
frères, soeurs Sakai Mai, 3 ans, demi-soeur. Matsui Kaede, collégien, 12 ans, frère par alliance.
INTRO : GO AWAY
Correspondance de Sakai Masao à l’intention de Song Heebok et Song Shintae ; écrite à Nishinomiya, Japon, le vingt-huit novembre 1998.
Chers beaux-parents,
J’ai longtemps hésité avant de vous attribuer ce titre dans l’entame de ma lettre. N’aurait-il pas été mieux que de simplement l’adresser à madame et monsieur Song ? À Heebok et Shintae ? Après tout, je ne sais si je porte encore l’appellation de votre gendre : votre fille, qui me rattachait à vous, n’est plus. Vous savez comme sa mort m’a brisé le coeur. Vous savez comme je détesterais à tout jamais cette maladie qui l’a emportée. Je vous écris aujourd’hui pour vous parler d’elle, ou du moins en quelques sortes. (...) Cette ville est pleine d’elle. Je la vois partout, heureuse comme je ne la verrais plus, malade comme je l’ai trop vue, aimante comme elle le sera toujours. Akane vit trop ici pour que je puisse vivre également. Pour mon bien et celui d’Eiji, il me faut fuir et l’effacer. Je vous envoie avec cette lettre les affaires d’elle qu’il me reste. Rien ne devra plus me la rappeler, ni même vous. Ni à moi, ni à mon fils qui vivra bien mieux dans l’ignorance : c’est donc dans cette optique que je vous annonce que vous ne le verrez plus, après notre départ qui se fera demain. (...) Je vous prie d’accepter mes excuses, chers beaux parents. J’espère que vous comprendrez la nécessité de mon action.
Cordialement,
Sakai MASAO.
CHAPITRE 1 : C H I L D I S H
Carnets personnels de Sakai Eiji ; écrits à Osaka, Japon, de 2003 à 2007.
1.02.03. 16h36.
Je m’ennuie. Tous mes copains sont à l’anniversaire de Kaito, sauf moi. Je me suis encore fait disputer par papa, aujourd’hui, et j’ai même du mal à me rappeler pourquoi. Papa est toujours sur mon dos, tout le temps. Il ne me laisse pas faire grand chose, et je croyais que c’était normal, mais je me pose de plus en plus de questions. Ce matin, à l’école, Ai m’a dit une fois encore que je n’ai vraiment le droit de rien faire, comparé aux autres enfants de l’école - et s’il avait raison ? Papa m’aime, j’imagine qu’il fait ça pour mon bien. Tout de même, ça m’embête...moi aussi, j’aurais voulu aller à cette fameuse soirée pyjama.
05.06.07. 17h35.
Aujourd’hui, on nous a donné une rédaction à faire en cours de japonais. Il fallait que l’on parle de nos origines, de là d’où on vient. Je me dis que c’est peut-être une occasion de demander à mon père quelques précisions sur les miennes, et sur ma mère dont je n’entends jamais parler - au final, elle ne me manque pas franchement. Mais je suis curieux. Je lui demanderais pendant le dîner...si c’est pour l’école, il comprendra, pas vrai ?
20h05.
Bon, ça ne s’est pas passé comme prévu. J’aurais du m’en douter. Au bout de trois questions, papa s’est énervé, et m’a demandé de ne plus parler de ça. C’est dommage, au fond : mes propres racines sont un mystère pour moi. J’imagine que c’est un sujet trop douloureux pour qu’il veuille l’aborder, parce qu’à chaque fois que j’essaie, il a l’air sombre et les yeux qui brillent comme s’il allait pleurer. Alors, je n’essaie plus. Aujourd’hui, j’ai eu trois nouvelles informations sur cette mère que je n’ai jamais connue. Par exemple, je savais qu’elle était d’origine Coréenne, mais pas qu’elle n’avait jamais mis les pieds en Corée. Je ne savais pas non plus que ses parents étaient arrivés dans ce pays peu après la guerre. J’imagine que c’est déjà ça de pris. Papa m’a aussi précisé que les coréens n’étaient pas des gens très fiable - je trouve ça plutôt gonflé, de la part d’un homme ayant épousé une coréenne. Mais soit. [dessiné à côté, une femme sans visage, un drapeau de la Corée, trois points d’interrogation stylisés.]
CHAPITRE 2 : B O O M (꿈)
Carnets personnels de Sakai Eiji, écrits à Osaka, Japon, de 2010 à 2012.
23.01.10. 20h32.
J’ai eu droit aujourd’hui de passer la journée avec Ai au centre commercial, pour mon anniversaire. Elle m’a traîné un peu partout, et puis naturellement, nous avons fait un tour dans ce magasin de maquillage qu’elle adore. Une fois rentrés chez elle, j’ai eu droit de m’amuser avec ses nouveaux pinceaux et fards, ce qui était plutôt génial. Mieux vaut éviter de faire ça sur moi-même, cela dit - si je rentre à la maison avec une trace de mascara mal effacé, je n’ose même pas imaginer ce que mon père pourrait dire. Rien de très charmant. [dessinée sur la page d’après, Ai.]
14.03.10. 9h18.
Est-il vraiment nécessaire pour mon père de me taper sur les nerfs dès le matin ? Je commence à me lasser de cette rengaine. Toujours la même. Moi, je ne suis jamais assez : jamais assez bien, jamais assez rangé, jamais assez sage ou assez carré. En revanche, je suis toujours trop désordonné, toujours trop insolent, toujours trop tout si l’on écoute ce qu’il aime à me répéter encore et encore. Un jour, je m’en irais sans rien dire, et on verra bien alors ce qu’il a à penser. De toute façon, il semble déjà persuadé que ma vie est partie pour être ratée.
18.03.10. 23h32.
Est-ce que c’est ça d’être amoureux ? J’ai l’impression d’être comme ces garçons dans les fanfictions qu’Ai lit souvent. Je n’aurais pas pensé me sentir comme ça face à un autre garçon, d’ailleurs. C’est étrange et très nouveau, mais j’aime ce que je ressens - c’est comme un océan de lucioles qui battent des ailes entre mes côtes. J’imagine qu’elles brillent fort : cette image me plaît. [dessin griffonné à côté, un garçon, des lucioles.]
16.06.12. 15h22.
En coréen, je t’aime se dit “saranghae” (j’essaie de retranscrire tout ça en japonais, je n’ai aucune idée de comment s’écrit cette langue). C’est Ai qui me l’a appris aujourd’hui, parce qu’elle regardait une vidéo de ses fameux chanteurs à l’heure du déjeuner. Nous avons ri en tentant de reproduire les mots qui sortaient de leurs lèvres, et moi, j’ai beaucoup aimé celui là. Saranghae. C’est un je t’aime qui roule très agréablement sur le bout de ma langue. Ai m’a dit qu’un jour, si nous progressons bien, nous irons vivre en Corée tous les deux. Ça m’a fait rire, et elle m’a alors demandé, “ça te semble si insensé ?”. Je me demande à quoi ressemble ce pays dont je viens un peu sans l’avoir jamais plus qu’imaginé. [en bas de la page, de traits maladroits qui tentent de reproduire les syllabes comme si elles étaient des caractères, le mot 사랑해 (saranghae).]
CHAPITRE 3 : R U N A W A Y
Carnets personnels de Sakai Eiji, écrits à Osaka, Japon, de 2013 à 2014.
16.02.13. 00h43.
J'étouffe. Plus j'y pense, pire c'est. Il est partout sauf dans mes pensées, et je crois qu'il essaie parfois d'y prendre place également. Plus un pas sans son regard désapprobateur et dur comme le fer, plus un souffle sans que sa voix ne vienne le corriger - et j'étouffe. Comment respirer, dans ces conditions ? Plus je vieillis, pire c'est. Je crois que mon père a peur de me voir lui échapper, ou peut-être que je ne deviens simplement pas celui qu'il avait espéré. Je n'en sais rien. Je le hais sans le haïr, n'est-il pas la seule famille que j'ai ? Ça craint.
18.12.13. 23h12.
Ait parlé à Ai au téléphone. Je crois qu'elle est en train de devenir folle, elle aussi. Sa mère ne la lâche plus depuis qu'elle a appris que sa fille n'avait vraiment aucune intention de mettre les pieds à l'université. Du coup, elle a l'impression de ne plus avoir le droit d'exister. Ai me comprend, voilà bien pour cela que nous sommes si proches...du moins, je pense. Quant à moi, j'ai de plus en plus de mal à supporter ce carcan constant, ce qui est drôle à y réfléchir : j'ai tenu presque dix-neuf ans, pourquoi d'un coup ? J'imagine que ça s'est installé avec le temps.
02.03.14. 01h41.
Mon écriture est sûrement un peu tremblante : je crève de froid. Je suis assis devant chez Ai, et ça fait bien dix minutes que je lance des petits cailloux à sa fenêtre en espérant qu'elle finisse par se réveiller. J'ai besoin de lui parler. Ce soir, je m'en vais. C'était peut-être le commentaire de trop, ou la dispute qui a fait tout déborder. À la minute où papa s'est endormi, j'ai fait mes affaires, écrit un bref mot, et j'ai foutu le camp - je ne me suis jamais senti aussi libre, alors je continue à sourire comme un idiot. Je vais demander à Ai de venir avec moi..mais qu'elle vienne ou pas, moi, je me casse. Au revoir, papa ! Crétin.
CHAPITRE 4 : MESS LIKE THIS
Carnets personnels de Sakai Eiji, écrits à Kobe, Japon, d'avril à octobre 2014.
03.04.14. 09h18.
Je viens de réaliser qu'aujourd'hui, ça fait un mois que je suis parti. Environ deux semaines que je dors dehors, également. Au début, Ai et moi nous sommes débrouillés pour rester dans des internet café, mais...et bien, disons juste que nos caisses se sont bien vite vidées. Et que visiblement, personne n'a envie de donner du travail à deux mineurs, à peine diplômés du lycée, et sans adresse, ce qui n'arrange pas ma cause. Soit ! Je ne rentrerais quand même pas à Osaka. Ça finira par aller.
07.05.14. 6h15~
Kobe, c'est vraiment une ville de merde. Hier, le gars dans la tente à côté m'a craché dessus parce que je lui aurait soi-disant volé quelque chose : tout à fait charmant. Bref. Je vais sortir, je crois, parce que je crève de chaud sous cette bâche - j'ai rien mangé depuis hier matin, ce serait un coup à ce que je m'évanouisse.
28.09.14. Sept heures et quelques.
Ai est partie. Comme ça, au beau milieu de la nuit, sans prévenir, si ce n'est un "désolé" griffonné et glissé dans ma poche. J'imagine qu'elle est rentrée à Osaka, grand bien lui en fasse. C'est donc ça, la solitude ?
11.10.14. Aucune idée de l'heure qu'il est, j'ai pas pu charger mon portable. Tard.
J'ai froid. J'ai tellement froid. J'écris pour éviter à mes mains de trop s'engourdir, à vrai dire, de toute façon, je n'ai pas grand chose à raconter. J'ai faim, ou j'ai froid, ou j'me fais chier, tout seul, bla, bla, bla.
13.10.14. 20h quelque chose ?
Me suis embrouillé avec un inconnu tout à l'heure ? Il m'a menacé de je sais pas quoi. Moi je veux pas dire, mais ça pue la merde, cette histoire.
CHAPITRE 5 : KICK IT (英雄)
Carnets personnels de Sakai Eiji, écrits à Osaka, Japon, d'octobre 2014 à février 2015.
<div id="staff"><center><div class="app-banner"><div class="app-bannerimg" style="background: url(https://64.media.tumblr.com/a0b4a5da48dc5bdd8ec33c41da96f02c/f415893e8212ed0c-ea/s400x600/f361766d6b2b746db803619a6ecb0ca8951e665d.gifv);"></div><div class="app-bannergrey"><div class="app-bannername">wang jonghoon</div></div></div> <div class="app-abc"><div class="app-details"><h1>carte d'identité</h1> <t>nom prénom</t> <u><i>((왕종훈))</i></u> <b>Wang.</b> Claque sur vos dents. Presque insignifiant, un peu trop commun de là d'où il vient. Royal, pourtant. Pas si important. <b>Jonghoon.</b> Vous le connaissiez un peu trop bien, sous sa version courte qui courrait les rues, les radios, les oreilles et les écrans. Aujourd'hui fantôme d'une étoile morte il y a bien longtemps : il n'y a plus que sa trace translucide, quelque part sur la voûte céleste. <t>nom de scène</t> <b>Hoon</b>, simple surnom qui colle à la peau. <t>date de naissance</t> Trésor d'un printemps, né à la mort des derniers flocons, un <b>dix-neuf mars 1993</b>. <t>lieu de naissance</t> <b>Beijing</b>, la grande, épousée pour trois années, pourtant trop rapidement quittée. <t>occupation</t> Lui qui pouvait briller plus fort qu'elles. Il guide, aspire un peu de cet éclat qui lui manque trop, projette sur leur rêve les restes du sien. <b>Manager</b>, à défaut d'être encore cette <u>idole</u> qu'il était alors, adulé des foules avant la grande chute. <t>orientation sexuelle</t> <b>Pansexuel</b>, l'amour sous toutes ses formes.
<t>taille</t> 178cm <t>poids</t> 60kg <t>signes distinctifs</t> Léger tatouage dans la nuque, multiples piercings aux oreilles. Cicatrices au genou gauche dues à deux opérations.
[code]<t>qian kun (wayv)</t> wang jonghoon[/code] </div> <div class="app-details"><h1>famille</h1> <t>parents</t> wang ilhoon, professeur de danse, ancien chorégraphe, 64 ans. lee jihyo, ballerine à la retraite, 62 ans.
<t>frères, soeurs</t> wang shuhua, 23 ans, chorégraphe. </div> <div class="app-details">
<div id="cd-timeline"><div class="cd-timeline-block"><div class="cd-timeline-img cd-movie"></div><div class="cd-timeline-content"><center><h2><u>how are stories born ?</u></h2></center> C'est comme le prélude d'un film, ou d'un grand spectacle. Acté et minutieusement préparé. Deux adolescents, dans un lycée de la préfecture autonome de Yanbian, connue pour sa forte population coréenne. Un regard. Un sourire, et quelques mots. Une ellipse, une dizaine d'année - un peu moins. Deux jeunes adultes, à peine la vingtaine passée. Elle, danseuse, au sein du Ballet National de Chine. Lui, assistant de l'un des chorégraphes de la compagnie. Des retrouvailles émues. Un coup de foudre. Encore quelques autres années, un peu plus cette fois. Deux artistes, l'une dont la carrière prend fin : la trentaine est fatale, chez les ballerines. Un désir, une nouvelle stabilité. Un enfant. Et un poste offert aux heureux parents en tant que professeurs de l'académie de danse de Beijing. Une aubaine. Jonghoon naîtra entre le tulle, les chaussons, les planches et les mesures. On lui chantonne l'air des meilleurs ballets, pour l'endormir. Maman chausse parfois ses pointes pour amuser le bébé. Deux ans plus tard, nouvelle vie insufflée au creux du ventre. La loi n'en autorise qu'une. La question se pose, une nouvelle opportunité se créé : Ce sera Séoul, et, pour le père, un travail de chorégraphe au sein de la toute jeune Flow Entertainment. Quelques années après la naissance de ce deuxième enfant, pour la mère, une place de professeure dans une prestigieuse école de ballet. Notre histoire commence ici : entre les entrechats et les billets d'avion, au sein d'une famille régie par la danse. Un destin tracé dès le premier regard échangé, entre deux adolescents, il y a quelques décennies.</div></div> <div class="cd-timeline-block"><div class="cd-timeline-img cd-movie"></div><div class="cd-timeline-content"><center><h2><u>birth of a dream</u></h2></center> [font=Courier New][color=#ff99ff](séoul _ 1998 ; 2005)[/color][/font] Bien sûr, qu'il danse. A-t-il même eu le choix ? Oh, Jonghoon ne s'en est jamais plaint. Ses petits pieds déjà gracieux adorent se plier aux exercices qu'on leur offre. Il n'est qu'un enfant, mais doué déjà pour son jeune âge - du moins, le dit sa mère qui l'a toujours vu comme la plus précieuse des choses. L'enfant grandit face aux photos et anciennes cassettes des prestations de sa mère, et sous les histoires racontées par son père des coulisses du ballet où il travaillait autre fois, de l'agence qui emploie ses services. Jeune, très jeune, la scène l'attire : il n'a que sept ans, lorsqu'il comprend qu'il doit s'y trouver. Les lumières, le spectacle et les paillettes, il en veut autant que possible. Enfant, il se bat déjà pour les rôles principaux des spectacles d'école. Enfant, mais déjà trop ambitieux. Jonghoon a la tête dure, et une détermination à toute épreuve. Sa mère s'en amuse, dit que cela aide, de savoir ce que l'on veut.
L'âge et le travail acharné amènent le progrès. Il est doué, et ce n'est plus seulement quelque chose que l'on dit par attendrissement, face à un enfant passionné. Doucement, son ambition se précise. Il apprend à chanter et travaille ses expressions faciales dans le but de rejoindre l'une de ces agences qui font de plus en plus parler d'elles. Personne n'est surpris, surtout pas sa famille : ce garçon était une star-née, dira-t-on. Charmant et avide d'attention. À douze ans, il franchit les portes de la Knockout Global - pas l'agence de son père, non, gamin entêté à la recherche du mérite, ne s'y présentera qu'en dernier recours -, pour leur montrer de quoi il est capable. L'attente est longue, de l'audition à la réponse. Les semaines coulent, il en ressort victorieux. C'est le début du rêve.</div></div> <div class="cd-timeline-block"><div class="cd-timeline-img cd-movie"></div><div class="cd-timeline-content"><center><h2><u>life of a star</u></h2></center> [font=Courier New][color=#ff99ff](séoul _ 2008 ; 2013)[/color][/font] Trois années d'entraînement acharné ont fini par payer : le trois octobre 2008, la Knockout Global offre au public les débuts de son tout nouveau boygroup. 4U, c'est quatre garçons éclatants, des titres accrocheurs et un franc engouement de la part des audiences coréennes. Jonghoon, danseur principal et membre le plus jeune de ce tout nouveau groupe, est aux anges : ici, devant lui, se tient le rêve d'une jeune vie, qu'il peut déjà toucher du bout des doigts. Du haut de ses quinze ans, il s'imagine déjà approcher les étoiles, et atteindre les mêmes sommets que ses aînés à l'agence. Le talent, le succès naissant, la chance, et la fierté d'une famille attentive : il a tout pour réussir, et ne s'imagine pas redescendre de son nuage.
Les années défilent sans trop d'accroches. Le groupe vit ses belles années, et une fanbase solide semble toujours présente autour d'eux. Si sa vie privée passe aux oubliettes, Jonghoon ne saurait s'en plaindre : toujours aussi ambitieux, le sacrifice lui semble maigre, quand les objectifs n'ont jamais perdus en clarté à ses yeux. D'un mauvais oeil, il observe les nouveaux venus sur la scène de l'entertainement. La création en 2010 par l'agence d'un nouveau boygroup lui arrache une grimace, lorsque les tensions naissent doucement entre le leader de sa propre formation et les décisionnaires du label. Qu'importe : il redoublera d'efforts. Pas question d'être délaissé au profit des nouveaux venus.
Ce sont trois années qui leur seront encore offertes avant la fin. Trois années pour installer définitivement les tensions entre un leader trop impulsif (selon Jonghoon) et une agence qui ne sait pas correctement le maîtriser (toujours selon lui), et pour mettre bien trop à l'épreuve les nerfs d'un chanteur principal bien trop anxieux - ça, ce sont même ses propres mots. Trois ans durant lesquels lui n'arrête jamais ses efforts acharnés. Son côté charmeur et sa facilité à amuser les foules lui vaudra une place de choix dans le coeur des fans du groupe, une popularité qui lui offrira à dix-huit ans son premier single solo. Un bagage solide qu'il décidera d'emporter avec lui, quand, au bout de cinq ans d'existence, 4U sera officiellement dissout, traîné à la tombe par la pression placée sur ses membres. Cette pression-là, Jonghoon a toujours été incapable de la voir : il blâme les autres et le monde. Pas prêt d'abandonner, pourtant, la fin de son contrat lui offre une nouvelle opportunité : traînant derrière lui son talent, son ambition, et ses fans toujours fidèles, c'est à la Flow Entertainment qui décidera désormais de les offrir. Le rêve ne peut pas mourir.</div></div> <div class="cd-timeline-block"><div class="cd-timeline-img cd-movie"></div><div class="cd-timeline-content"><center><h2><u>death of the sun</u></h2></center> [font=Courier New][color=#ff99ff](séoul _ 2013 ; 2015)[/color][/font] Le rêve attrapé à pleines mains. Sa carrière s'élève de plus en plus. On parle partout de Hoon, diffuse ses chansons autant que possible, voit son visage dans toutes les émissions : l'ancien maknae des 4U fait sensation, certains murmurent même que cette carrière de soliste lui va, au final, mieux que le groupe défunt. Le principal intéressé est aux anges, depuis la lumière d'une scène qu'il ne partage plus. Au final, voilà ce qu'il a toujours voulu : le succès, les projecteurs, les paillettes. Quitte à en ignorer le monde autour de lui, Jonghoon s'enivre de sa réussite et ne vit plus que pour elle. Danseur d'exception, il travaille désormais toujours avec les plus grands, au point d'un jour refuser la collaboration de son père au profit d'un autre chorégraphe, plus réputé. Une prise de conscience pour une famille qui voit son aîné de plus en plus se détacher de la réalité, et de ce qui compte réellement. Sa mère, elle qui sait que la réussite n'est jamais éternelle, craint la retombée, et le jour où elle devra récupérer les restes de son fils pour les rassembler au mieux. Son père, à l'ego blessé, refuse de lui parler. Ça ne durera pas, assure le fils aveuglé par sa propre lumière.
À vingt-deux ans, sa carrière semble portée à son zénith. Hoon, qui ne répond presque plus qu'à ce nom, est son propre soleil, le centre de son propre monde, sa propre lumière, devenu totalement aveugle au reste de l'univers. Rendu fou par l'ambition, il en veut toujours plus : s'arrêter n'est pas une option. Mais le corps n'est que fragile, sujet à l'affaiblissement et aux limites du genre humain auquel il semble avoir oublié qu'il appartient. Hors, les limites, il cherche toujours à les repousser.
Son tout dernier titre présente une chorégraphie particulièrement compliquée, dont le point d'orgue semble être un saut assez risqué. La présenter sur scène, à l'occasion d'une émission célébrant la nouvelle année, plonge Jonghoon dans un état d'excitation brûlante, extatique : voilà l'aboutissement de plusieurs mois de travail acharné. Il est épuisé, surmené, et pourtant, son visage se dresse d'un sourire éclatant. Pourtant, au bout de quelques minutes de performance, c'est un cri déchirant qui percera les oreilles de l'audience. Recroquevillé sur le sol de la scène, la star du jour se tient le genou dans une expression de douleur immense. Voilà la dernière image que Hoon offrira de lui sur une scène au public : à force d'avoir voulu trop côtoyer le soleil, le rêve semble s'être brûlé les ailes.</div></div> <div class="cd-timeline-content"><center><h2><u>comatose</u></h2></center> [font=Courier New][color=#ff99ff](séoul _ 2015 ; 2016)[/color][/font] "<b>Comment ça, je peux chanter des ballades ? J'ai une gueule à chanter des ballades, moi ? Puis quoi encore ?!</b>
Il hurle à un manager terrifié. La nouvelle est tombée comme un couperet : le greffon visant à réparer son ligament rompu n'a pas pris. L'opération est un échec. Une nouvelle, plus risquée, sera nécessaire. Si elle réussit, il lui faudra ce qui lui semble être une éternité avant de retrouver les mêmes capacités que par le passé, à supposer qu'il les retrouve - en attendant, hors de question de retenter les mêmes prouesses. D'ici quelques mois, peut-être, il pourra reprendre de légers exercices de barre, sans trop forcer. <i>Une torture.</i> Sans savoir s'il se sent hors de lui ou à moitié mort, Jonghoon hurle sur le monde entier. Sans savoir s'il a plus mal à l'intérieur ou à l'extérieur, il laisse exploser sa rage sur quiconque a le malheur de passer près de lui. <i>Chanteur de ballades. Plutôt crever.</i>
(...)
Onze mois après l'accident ayant dévasté le cœur des fans à travers tout le pays, la foule vibre un peu. C'est avec fierté que la Flow Entertainment annonce le retour sur scène de celui qui était son soliste phare. Une mélodie douce et une voix que le travail informatique a rendu bien plus lisse qu'elle ne l'est, un clip sans prétention, pour un chanteur qui supporte encore mal la station debout prolongée. Une ballade sans grand intérêt, qui trouvera tout de même un public chez les fidèles admiratrices du chanteur. On est bien loin ici des titres accrocheurs aux chorégraphies millimétrées, et des talents en danse que l'agence aimait tant mettre en valeur. La paix n'est que de courte durée, pourtant. Jonghoon refusera de présenter le titre sur scène, se contentant de quelques interprétations à la radio : sa voix semble éteinte, lui, ailleurs. Il se montre désagréable avec les fans, et, lors des quelques émissions où on peut l'apercevoir, présente un comportement que beaucoup décrivent comme incohérent, distrait, et décousu. Petit à petit, les suspicions s'élèvent, affolées par une soudaine absence du concerné dans l’œil public, trois semaines seulement après la sortie de son single. Les journaux à scandales spéculent, on parle d'abus de substance, des mots très laids, qui font toujours tâche dans le milieu du divertissement. Finalement, après deux nouvelles semaines de silence, et un article particulièrement retentissant, la Flow Entertainment annoncera officiellement le départ de Hoon de ses rangs, expliquant que le chanteur souhaite se concentrer sur sa santé et sa vie personnelle.
La réalité est toute autre : ayant doucement développé une addiction aux anti-douleurs qui lui furent prescrits pour soulager la douleur de sa jambe, Jonghoon finira par être conduit dans un centre de désintoxication, sur une décision de sa famille qu'il accepte malgré tout. Il en sort six mois plus tard, et présente ses dernières excuses sous la forme d'une lettre à ses fans, où il affirme une fois de plus vouloir se retirer de la vie publique. Dans les faits, sans réellement en voir le bienfait sur sa santé mentale, l'artiste est au moins conscient que ces derniers mois ont signé la mort d'un succès à son apogée, et que persister ne mènerait à rien. C'est la fin d'une carrière, la mort d'un rêve. S'il ressent sur l'instant un certain soulagement, celui-ci est vite dissipé au profit d'une amertume qui ne le quitte plus. <i>u.c</i></div></div> <div class="cd-timeline-content"><center><h2><u>blabla</u></h2></center> [font=Courier New][color=#ff99ff](séoul _ 1998 ; 2006)[/color][/font] Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit. Iusto, optio, dolorum provident rerum aut hic quasi placeat iure tempora laudantium ipsa ad debitis unde?</div></div> </div> <div class="app-footer"><table><tr><td><div class="app-footerplayername">joué par <span>rose</span></div><div class="app-footerplayerinfos">19 y.o still<span>></span>paris<span>></span>même moi je pensais pas, il m'a attrapée par le col lui</div></td><td></td></tr></table></div> </center></div>
all or nothing
you plus me makes sense, i don't think about the rest, my life before you was a mess i swear you got my heart beating in my chest
nom prénomSeo n'était pas celui de la naissance, pourtant identité d'une mère auquel il se raccroche faute de plus, faute de père, de celui qui a fui - c'était pourtant lui, qui lui avait offert ce Ilkyung qui roule sous la langue, cette identité concrète qui ne fut pas assez. nom de scèneNaeil, le lendemain. Ilkyung se tourne vers le futur, sourit au soleil qui se lève, et rêve, encore et toujours, d'une aube plus belle encore que celle de la veille. date de naissance Les feuilles qui craquent offrent à l'oreille un parfait réconfort - la chaleur, la pluie sur le carreau, le chocolat chaud de grand-mère. Vingt-trois octobre 2000, brumeux mais pas pluvieux, aux couleurs d'un automne aussi chatoyant que lui. lieu de naissance "Tu vois Tongyeong...? Non...? Ok alors tu vois Jinju ? Bah c'est genre pas loin, enfin, tu fais une heure trente de route vers le sud-est, puis tu tombes sur un bled qui s'appelle Geosan. Bah voilà, c'est là, c'est un peu paumé, mais c'est sympa...on a des vaches, la mer, et des ahjummas. Beaucoup d'ahjummas." occupationTrainee, à la conquête du monde. orientation sexuelle "Tu sais, quand tu viens d'un coin où la majorité de la population dépasse les 60 ans, tu fais pas le difficile..." spécialité majeure danse spécialité mineure chant taille 168,5cm poids 55kg signes distinctifs des piercings d'oreilles, une peau légèrement plus matte que la moyenne du milieu, des converses qui auraient bien besoin d'être changées.
groupe sanguin O+ signe astrologique Scorpion phobie Les lapins. Ayant grandi à la campagne, c'est légèrement problématique.
Code:
<t>lee donghyuck (haechan / nct)</t> seo ilkyung
famille
parents Seo Jimin, 51 ans, institutrice à l'école locale. Seo Iljung, 75 ans, agriculteur. Myung Myunghee, 73 ans, agricultrice.
Bae Jaehyun, 58 ans, métier inconnu. Géniteur. frères, soeurs
Bae ????, âge inconnu.
2010 :
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2012 :
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipisicing elit. Iusto, optio, dolorum provident rerum aut hic quasi placeat iure tempora laudantium ipsa ad debitis unde?