☾ Idole successful (Margot m'a dit "change she fab now")
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☾ Chou Tzuyu
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Love Letter ♡
to Zhiruo
Music ♡ Pour la première saison de Love Letter, c’était pour Haebitna qu’elle était venue, qu’elle avait chanté. Cette année, son choix s’était naturellement portée sur Zhiruo. Kyung aurait été une option bien trop dangereuse, au vu de ce qu’il s’était passé il y a un an. Pour elle, elle avait décidé de chanter en chinois, parce que c’était leur langue, celle qu’elles utilisaient pour se comprendre le mieux. Une vieille chanson des années 90, qui était sortie un an après leur naissance. Pengyou, un titre simple, ami. Une amitié qui durait depuis des années, probablement pas loin de dix ans, ayant commencé quand elles étaient encore trainee. Ensemble, elles avaient vécu le pire, comme le meilleur, mais globalement, leurs plus belles années, c’était main dans la main qu’elles les avaient traversé. Yi Ren savait qu’elle serait un peu ridicule. C’était elle qui faisait une déclaration à la belle Chinoise, mais ce serait sans doute elle qui pleurerait.
Rien qu’à la voir sur ce plateau, elle se sentit émue, lui offrant un doux sourire en s’avançant vers elle. à les voir, même les politiques de chaque pays ne voudrait plus que la paix entre la Chine et Taiwan. Elle s’avançait doucement vers sa camarade, chantant sans la lâcher du regard, jusqu’à être assez près d’elle pour pouvoir lui prendre la main. C’était peut-être cliché, mais elle donnerait tout, pour Haebitna et elle. elles étaient sa famille, après tout. Plus que des bandmates, ou des amies. De véritables sœurs. Bulle, Belle et Rebelle. Toujours unis. Et évidemment, elle se mit à pleurer, en parfaite niaise qu’elle était, sa voix vrilla très légèrement avant qu’elle ne se reprenne. Chanter parfaitement en pleurant, ça faisait tout de même huit ans qu’elle le perfectionnait. La chanson toucha à sa fin, et sans vraiment lui laisser le choix, elle s’approcha pour la prendre dans ses bras. « Merci d’être avec moi depuis toutes ces années. D’être aussi direct et parfois un peu violente pour me ramener sur le droit chemin. D’être aussi incroyable. » Elle avait évidemment parlé en coréen, n’oubliant pas dans quel pays elle se trouvait. La serrant un peu plus fort, elle finit difficilement par accepter de la relâcher.