Chaque année, c'est le passage incontournable que toutes les fashionistas attendent avec impatience.
Le Tapis Rouge voit défiler la crème de la crème de l'idoling, mitraillé par des dizaines de photographes postés tout son long dans l'espoir de capturer le sourire d'un des artistes conviés.
Mélange de chic, d'élégance, d'originalité, de surprise, la faute de goût est quasiment aussi risquée que du patinage artistique en talons aiguille, et elle est la bête noire de ces idols qui espèrent se voir immortaliser dans leurs plus beaux habits.
Alors n'ayez pas peur, et venez donc traverser cette longue étendue d'un rouge velours, et vous prêter au jeu des flashs.
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Lun 26 Nov 2018 - 1:32
the show must go on
((aes)) — Ça crépite, ça grésille sous la peau d’excitation dure à dissimuler - ça met quelques étoiles dans les yeux à l’idée d’aller les voler en haut du ciel, de les ramener à la maison sous forme de trophées : c’est le succès qui leur sourit, leur voix sur CD achetées par des centaines de milliers d’âmes, leurs visages-vidéos épousées par des millions de regards, leur nom affiché en grand au programme de cérémonies d’envergure - pour espérer se démarquer au milieu des plus grands, être reconnues comme figures respectables du domaine. Valkyries n’est plus un nom inconnu du grand public - Ludmila le reste encore un peu, gamine pas si remarquée au milieu des autres. Qu’importe - elle cherchait pas tant la gloire qu’une vie meilleure ; et y a tout de même le soleil qui s’invite en sourire radieux sur son visage tandis que la voiture qui les porte les rapproche du tapis rouge. À entendre déjà les cris des admirateurs, les déclencheurs des appareils dont le flash se distingue même depuis l’habitacle - et ça provoque l’excitation, enfant se plaint jamais de l’attention.
“Prêtes ? J’pensais être plus nerveuse pour mon premier tapis rouge - mais en fait, j’ai plus hâte qu’autre chose.”
Dernières adresses à ses camarades, et c’est sourire toujours gravé sur les lèvres carmin qu’elle quitte le véhicule - à donner image parfaite aux appareils qui la capturent, faire quelques signes de main légers à ceux de la foule qui sont là pour elles. Tellement à l'aise dans l'habit court, censé révéler ses plus beaux atours, faire lumière sur les courbes convoitées. Quelques mètres de tapis rouges parcourus - la voilà à l’intérieur, prête à profiter des festivités.
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Lun 26 Nov 2018 - 3:55
the show must go on
((1 & 2)) — comme un gigantesque brouillard ; nuage de flashs qui crépitent dans un océan de lumière – journalistes prêts à capturer les galaxies d’étoiles qui viennent danser sous leur objectif. c’est leur deuxième cérémonie officielle mais elle n’en est pas moins impressionnante – cette fois on les reconnait. ce n’est plus un nom nouveau qui s’éparpille sur la gigantesque liste des astres de ce monde, dont les lettres se distendent sous le prisme des regards de centaines de milliers de fans qui sont là, aujourd’hui, prêtes à acclamer leurs idoles venues se présenter sous leurs yeux. et pourtant l’électricité est toujours là, grandissante qui circule sous l’armure rouge de tissus impeccablement vêtue – remonte jusqu’à vriller au bout de ses doigts. son souffle est court et son regard s’échoue sur le visage de chacun de ses bandmates ; arbore un sourire fier en considérant tout le chemin parcouru – à ignorer autant que possible les acclamations qui lui parviennent malgré tout dans le van où ils sont encore tous assis.
vous pensez que c’est possible de s’y habituer ? je suis sûr que c’est carrément impossible.
accolade à gibin, présent à sa droite, avant de relever son regard vers le leader – comme une étoile polaire dans la nuit tourmentée ; et il sourit, raphaël, conscient de la chance qu’ils ont de tous être là.
aller, j’ouvre le bal.
sa main s’actionne sur la portière et enfin il sort sous le feu des projecteurs – un pas sur le velours rouge pour embrasser ce rêve qui l’habite depuis des années.
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Lun 26 Nov 2018 - 6:48
the show must go on
((aesth)) — Un an depuis ses débuts et Hayun s'en rendait à peine compte. Tant de choses s'étaient passées en si peu de temps que cela lui semlait encore irréaliste. Elle n'aurait sûrement jamais imaginé tout ça lu arriver, surtout après tant galéré et n'ayant débuté qu'à l'âge de 23 ans. Cependant elle était là, à terminer de se préparer pour rejoindre la cérémonie la plus important de l'année, à se dire qu'elle se tiendra aux côtés de tant de célèbres artistes. Son coeur battait la chamade et elle arrivait à peine à se concentrer, se précipitant pour suivre les membres du staff afin d'aller prendre la route.
Le tout était simple, sa tenue comme son maquillage, et elle se sentait encore assez bien. Elle ne stressait pas vraiment, ou du moins, pas pour le tapis rouge. Elle savait qu'elle allait apprécier le moment ; et une fois descendue de la voiture, elle en était totalement sûre, c'était son moment et elle allait en profiter au maximum. Poses stupides et inutiles, Hayun se fichait de tout et s'amusait, exposant son plus beau sourire aux caméras. Prenant aussi le temps de se poser correctement, elle essayait de se montrer de face pour tous les objectifs avant de finalement rejoindre l'intérieur avec les autres artistes.
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Ven 30 Nov 2018 - 20:51
the show must go on
(aesth.) °✧ — Pointe de sobriété et de convenance résidant en son reflet. Il s'observe, silencieusement. L'accoutrement arboré ne lui ressemble guère. Et pourtant, il affectionne un tantinet celui-ci. La simplicité possédait parfois, d'innombrables aspects positifs. Que diable, les dorures et le paraître. Il présentait à l'instar de ce tapis rouge son être - au naturel. Et ce, fièrement accompagné de ses camarades. À la fois complémentaires et originaux à leur tour. Ils possédaient chacun, ce charme indescriptible qui rendait leur image unique en l'esprit de quiconque.
L'automobile noirâtre pointait alors, le bout de son nez. Signalant l'arrivée des garnements au sein de l’événement qui grondait non loin de là. Large occasion afin de rassembler artistes, groupes, public, photographes et presses en tous genres. Les cris retentissaient, à peine avaient-ils frôlés le sol. Satisfait. Léger sourire planant en son faciès, salutations amicales et banales. Ils furent néanmoins, en mesure de se démarquer suite à une pose originale afin de satisfaire les désirs des photographes postés à leurs côtés.
Les énièmes regards et posent possédaient un goût amer, celui de désirer persister (égoïstement) d'avantage auprès de ce tapis rouge, ne serait-ce qu'un court instant de plus.
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Ven 30 Nov 2018 - 21:44
the show must go on
(aesth.) °✧ — Soulagement. La solitude planait à ses côtés, tandis qu'il pénétrait au sein de l'automobile noirâtre. Satisfait, de son reflet. Satisfait, du moindre aspect résidant en son quotidien actuel. Il se retrouvait définitivement seul - et c'est en accord en commun, qu'il poursuivra sa carrière ainsi. Seul. Lui, et ses étranges idées, envies, désirs. Lui, et ses productions à deux francs six sous. Il avait, néanmoins réussis à rassembler un bon nombre de vues au travers de son énième production. Peut-être était-ce la raison de sa venue et de son engouement. Pour la première fois, il se produirait sur scène. Son titre se ferait entendre en ces lieux et uniquement ceux-ci. Lui, les lives. Guère sa came.
Il persistait silencieux au travers du court chemin le menant jusqu'au tapis rouge. Il arborait alors, un accoutrement quelque spécial. Qualifié d'original - d'après ses collègues et la demoiselle qui avait su rassembler ces pièces. Il appréciait le rendu final et se contre-fichait des avis externes. Si ce n'est, sa sœur aînée, un ami et une demoiselle.
Pieds glissés à l'instar du tapis rougeâtre, il arbore ce faciès semblable à ses habitudes (aussi mauvaises soient-elles) ; peu souriant en apparence, il tentera de réaliser un effort surhumain auprès des photographes.
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Ven 30 Nov 2018 - 22:39
the show must go on
(aesth.) °✧ — et comme des vagues, les souvenirs bercent ses pensées. à se revoir, il y a une année. lorsqu’elle était encore accompagnée. lorsque ses sourires brillaient en compagnies de ceux de ces filles qu’elle considérait comme famille. les paupières s’abaissent, flash du premier tapis rouge foulé se gravant sur la rétine - coup porté, à fissurer un peu le palpitant de se dire, que tout est du passé. qu’elle a avancé.
que ce soir, c’est son nom qu’elle portera. que ce soir, c’est seule, qu’elle brillera. portant le fruit de son travail à bout de bras, le faire danser, chanter, briller devant ces regards éblouis, en quête de rêveries.
seule mais pas tout à fait. le visage se tourne vers la compagnie. et soo, elle n’aurait rêvé mieux partenaire qu’elle pour cette soirée, si spéciale. elle se présente avec eunbyul. quelques étoiles éclatées dans les obsidiennes, elles se rivent de nouveau sur ces vitres teintées ou les flash sont étouffés. les mains s’agrippent doucement aux pans de sa robe, un sourire nostalgique venant étirer cette bouche carmine, délicieusement dessinée. les mains sont moites, témoins d’une nervosité apparente.
ce n’est pas le premier, ni le dernier (oh, qu’elle espère l’enfant !) mais à chaque fois, le tambour manque quelques notes, à froisser toute la partition. c’est un volcan d’émotion qui embrase le cœur & l’esprit, à se poser mille et une question, s’imaginer mille et un scénario. la mâchoire se crispe lorsque la voiture s’arrête.
c’est à elles, d’entrée dans la danse.
prête ?
la main tendue vers la meilleure amie, le sourire qui se donne un peu de courage, c’est une inspiration profonde qui gonfle les poumons alors que la portière s’ouvre. les yeux qui scrutent le tapis rouge pour ne pas être aveuglée par cette explosion de flash –
simple mais élégante, c’est cette robe noire qu’elle porte avec beauté, tissu si fin qu’elle a l’impression que la parure fait partie d’elle. naturelle, elle s’avance sur le tapis rouge, sans jamais quitter la main de l’amie fidèle – sourire délicat, elle salue de la main le vide qui se présente, à ne pas réussir à se focaliser sur une cible en particulier. démarche féline, cadencée, elle s’avance sans trop de mal, perchée sur ses talons vers le coin photo.
poses professionnelles et amusantes, elles semblent trouver le bonheur devant les photographes. soo se libère des dernières traces de stress par les rires qu’elle témoigne -
(aesth.) °✧ — Jusque maintenant, tout se passe bien. Je regarde mes manches en soupirant discrètement, avant de descendre de la voiture et de m’approcher du tapis rouge, en compagnie du reste du groupe. Ça me fera toujours le même effet, je crois : les caméras, les appareils photos, les autres célébrités tout autour de nous, venues ici pour la même raison. Je souris aux personnes présentes, effectuant le trajet qui me sépare du point photo principal en compagnie de Joonho et Jaejin.
Ça me semble tellement lointain, le moment où nous avons mis les pieds sur cette scène pour la première fois. Je m’attarde un peu, sachant que des juges sont présents dans l’assemblée, des magazines même, pour noter nos tenues et donner des avis. Un bon point pour les stylistes, et je ne peux m’empêcher de penser à Heeho, même si elle ne travaille plus avec nous désormais.
Quand nous arrivons à hauteur du point photo, je souris un peu. Nous y voilà. Bientôt, place à la cérémonie. J’espère assister à de belles victoires cette année : pas forcément la nôtre, mais celles de ceux qui le méritent. Après tout, on bosse tous d’arrache-pied dans ce milieu, on ne va pas commencer à se faire une petite guerre ridicule comme celle qu’imaginent les fans, pas vrai ?
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— A V E N I R There's a time to let it grow, there's a time to let it slow, and a time to let it go. (cocoon, cathedral)
sign : me'ow; icon: eilyam (bazzart).
Spoiler:
la meilleure fan:
yuseong media
Bang Jaejin
Sam 1 Déc 2018 - 23:06
Messages :
4767
Age :
29 ans (27.09.94)
groupe :
VICT3RY
rôle dans le groupe :
main vocal, main cutie
nom de scène :
Jay(sus Christ)
occupation :
idole, compositeur, parolier
avatar :
baekhyun (exo)
crédits :
moonaetics
DC :
EVERY
Points :
172
the show must go on
(aesth.) °✧ — Qu’est-ce qu’il était beau. Jae Jin avait attendu cette soirée avec appréhension. Ils étaient les meilleurs. La confiance à nouveau au maximum, il devait se calmer. Il avait travailler son visage de surprise sans penser à travailler son visage de bon perdant. Il n’aimait pas perdre. Une honte terrible en ayant conscience du monde dans lequel il évoluait. Peu importe, il prendre un congé sabbatique d’un an avant de revenir comme si de rien n’était, frais et heureux. Voilà. Arrangeant rapidement sa veste, il laissa Minoh prendre les devants, le suivant en saluant les caméras et les photographes.
Il n’était pas vraiment nerveux, pas comme la première fois qu’ils étaient venus là, à deux seulement. Jae Jin se rappelait distinctement l’angoisse qu’il avait ressenti, son sourire mal assuré, sa peur de tout. Des flashs, des caméras, il avait peur qu’on le juge, que tout se passe mal, de tomber. Désormais, il avait l’assurance nécessaire pour se dire que s’il tombait, on allait faire de lui un gif et un meme sur internet et c’était aussi ça, la célébrité. Accepter de voir ses erreurs répétées inlassablement sur une image.
Le point photo était devant eux. Comme toujours, il trouva sa place entre les deux géants de son groupe. Pose habituelle, grand sourire aux lèvres, il stressait un peu à l’idée d’avoir une tête bizarre. Et s’il était moche ? Il avait toujours peur d’être moche entre eux deux. Même s’il était clairement plus mignon qu’eux. Mais il ne voulait pas être mignon, il voulait qu’on le trouve beau. C’était si difficile d’être idole.
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a night under the stars
maybe we’re just two stars born from different constellations, we were never meant to connect, oh, but how we tried, we screamed, but it was never enough.
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Dim 2 Déc 2018 - 1:37
the show must go on
(aesth 1 & 2.) °✧ — Tissu noir remis nerveusement en place, les doigts arrangent les mèches rosées, peu importe si les voilà déjà impeccablement fixées - la lippe encore une fois mordillée d’anxiété, car il est, ce soir, astre solitaire à évoluer sur un ciel pourpre. Plus un nom parmi cinq autres - seul son patronyme sera reconnu au travers des nominations le concernant ; quelques syllabes plus si inconnues au yeux de la foule. Parce que Gabriel n’est plus désormais un nom qui s’ignore, appellation déformée désormais connue comme étant celle de l’un de ceux, aspirants icônes et dieux, qui tentent de se faire une place sur l’Olympe. Encore une fois, apeuré à l’idée de défiler sur ce tapis qu’il lui faut encore apprivoiser ; et aujourd’hui y a pas d’autres âmes à ses côtés pour le raisonner, l’aider à se calmer. Pourtant il lui faut bien ravaler la peur, l’empêcher de se frayer un chemin à coup de griffes au travers de sa gorge - et afficher alors l’un de ces visages entièrement modelé, répété, à l’expression millimétrée, digne de se retrouver sur papier glacé. La traversée se fait - éprouvante odyssée, à se faire beau devant les flashs des appareils photos, la main adressant quelques signes à ceux qui sont venus pour lui ; répondre à quelques questions qui lui sont adressées. Gamin, définitivement bien moins à l’aise ici que sur la scène - celle qu’il a tant hâte d’embrasser de nouveau après ce qui lui semble une petite éternité, à lui rendre son allégresse tandis que l’intérieur du bâtiment est gagné.